Détails du sujet
EFFET DE LA DEPRECIATION MONETAIRE SUR LA
CROISSANCE ECONOMIQUE EN REPUBLIQUE
DEMOCRATIQUE DU CONGO DE 1990 A 2022
Résumé
Auteur : Kabemba Saliboko
Niveau: G3
Département: Economie
Année Ac: 2023-2024 , | 2024-09-05 01:35:10
Mots clés
Dépréciation monétaire, croissance économique
La dépréciation monétaire étant un phénomène d’actualité en RDC, plusieurs auteurs, plus
Intérêt
précisément congolais (Gaston E. et al., 2022), (Merveille K. et al., 2021), (Dieudonné G. et
al., 2022), ( Alex K., 2018), ont parlé de son incidence négative sur les ménages. Partant de
cette vision, nous avons voulu savoir si ceci avait un impact positif (Mohammed et
al.2019) sur la croissance du pays suite aux résultats qui sont obtenus. Ce travail cherche à
aboutir à une conclusion qui peut être un avancement pour l’économie de la RDC, d’où la
dénomination effet de la dépréciation monétaire sur la croissance économique.
Ce travail peut servir de référence pour les générations à venir dont la thématique sur la
dépréciation pourrait intéresser.
Problématique
Une évolution du temps suppose une maitrise sur certains facteurs de développement, mais
cela n’est pas le cas en République Démocratique du Congo (RDC). Au fil des années, la
RDC a connu et connait jusqu’à présent une instabilité de sa monnaie locale ; par conséquent
sa monnaie est assujettie à une dépréciation.
Fabrice et Alexandre (2020) mettent une évidence, la dégradation continue du Franc congolais
depuis plusieurs décennies. En effet, si en 1998, 1,3 FC suffisaient pour acquérir 1 USD,
aujourd’hui, il faut débourser plus de 2650 FC. Cette évolution, marquée par des périodes
d’accélération comme entre 2001 et 2009 où le taux de change a augmenté de 800% témoigne
d’une instabilité monétaire chronique (Fabrice et Alexandre, 2020).
La dépréciation, selon IG Group (Société de services financiers), représente la baisse de la
valeur d’une devise par rapport à une autre, surtout pour les devises ayant un taux de change
flottant et la valeur d’une devise est définie par le marché de forex (IG Group, 2023).
FasterCapital, société de capital-risque basée au Bangladesh, souligne que la dépréciation
d’une monnaie est une épée à double tranchant. Si elle peut stimuler les exportations et la
production locale, elle entraine aussi une hausse des couts d’importation et peut alimenter
l’inflation, surtout si le pays est dépendant de produits essentiels (FasterCapital, 2023).
Le Dr Nwikina et Ekere ont menée l’étude pour savoir si le taux de change stimule le
développement économique du Nigeria avec des données annuelles de 1985 à 2021 à la
technique du décalage distribué autorégressif (ARDL). Selon les résultats de la régression, la
croissance économique a été influencée positivement et significativement par les réserves de
change, et négativement et significativement par les taux d’intérêt. Il a été démontré que la
croissance économique est affectée positivement et de manière insignifiante par l’ouverture
commerciale. Selon les conclusions de l’étude, un élément clé du développement économique
du Nigeria n’est pas le taux de change. (Nwikina et Ekere, 2024)
Au Pakistan , la même étude a été menée par Tayyab K. et al., l’étude a principalement
examiné des données actualisées sur la manière dont la dévaluation de la monnaie peut
affecter la croissance économique du Pakistan avec des données secondaires de l’indicateur du développement dans le monde (WDI) des années 1990 à 2018 , prenant en compte les
indicateurs économiques de base tels que le produit intérieur brut ,l’inflation , le taux de
change ,le taux d’intérêt et le capital brut formation utilisant l’ARDL, l’ECM, la cointégration
de Johansen et le modèle VECM. Le constat a été qu’il n’existait pas de relation positive et
significative entre la dévaluation monétaire et la croissance économique dans le cas du
Pakistan (Tayyab et al., 2022).
Les études ci-dessus révèlent l’inexistence d’une relation positive et significative entre
dépréciation monétaire et croissance économique et concluent par la réponse selon laquelle la
dépréciation monétaire ne serait pas la clé du développement économique.
Notre étude vise à déterminer si la dépréciation monétaire stimule la croissance économique
en RDC. Nous nous demandons si cette politique constitue un levier de développement. Selon
Richard KABEYA, le succès d’une dépréciation dépend moins du taux choisi que des
mesures d’accompagnement mises en œuvre. En effet, une dépréciation favorise les
exportations, réduit les importations et attire les capitaux. Cependant, la réussite de cette
stratégie repose sur la capacité des entreprises locales à saisir les opportunités ainsi créées et
sur la sensibilité de la demande étrangère aux variations de prix (Richard, Aout 2023).
C’est dans ce cadre que nous passerons au crible pour savoir si la RDC profite des
opportunités que la dépréciation monétaire apporte en dehors de maux qu’elle cause.
Sur ce, notre étude est basée sur la question principale suivante :
Quelle est l’influence de la dépréciation monétaire sur la croissance économique de la
RDC de 1990 à 2022 ?
Cette question est soutenue par deux questions spécifiques qui sont :
La dépréciation monétaire a-t-elle affectée la balance commerciale de la RDC entre
1990 et 2022 ?
Comment la dépréciation monétaire a-t-elle influencé la croissance du PIB ? Plan provisoire
Dans le présent travail, le milieu d’étude est la RDC (République démocratique du Congo) et
donc toutes les données recueillies sont celles de la RDC.
Et dans le temps, cette étude couvre la période allant de 1990 à 2022; soit une période d’étude
de 33 ans d’observations. Hypothèses
Michel DUPUY soutient que la dévaluation/dépréciation agit comme un levier pour les
exportations. En effet, en diminuant le prix des produits nationaux sur les marchés
internationaux, elle les rend plus compétitifs et favorise ainsi une augmentation des volumes
exportés (Michel, 2019); la dévaluation de la monnaie chilienne a permis de dynamiser les
exportations de produits non traditionnels, contribuant ainsi à diversifier son économie et à
stimuler sa croissance. Ce phénomène s’est également produit en Italie et en Chine, où la
sous-évaluation de la monnaie a favorisé les exportations des secteurs à forte productivité
(Abdallah, 2022).
i. Nous postulons en disant que dans cette étude la dépréciation monétaire affecte la
balance commerciale de la RDC, et la balance commerciale a un effet positif sur la
croissance du PIB, car la dépréciation permet d’augmenter la production locale
permettant l’exportation et limitant les importations car elles sont assujetties à une
inflation, pour un pays en voie de développement rationnel.
ii. Nous postulons en argumentant que durant cette période la dépréciation monétaire
aura un impact significativement positif sur la croissance du PIB. Méthodes
Cette partie suppose être un canal pour nous aider à aboutir aux résultats finals pour confirmer
ou rejeter les hypothèses émises ci-dessus.
C’est dans cette optique que pour la collecte des données des différentes variables, la
technique documentaire nous a été d’une grande aide pour récupérer des données avec Excel
dans les différents rapports de la banque centrale du Congo et de la banque mondiale. Et pour
traiter les données recueillies le logiciel E-views 9 nous a été d’un grand appui accompagné
de la méthode économétrique de ARDL nous informe sur des oscillations à court terme qui
sont gouvernées par la relation d’équilibre à long terme, cela permet de faire des prévisions.
Nous avons de même recouru au test de causalité, pour voir les implications de variables
entre elles. Bibliographie
Mbuyi A. K., L. Deborah Matadi. Fluctuations du taux de change et croissance économique
en République Démocratique du Congo. 2021. hal-03346489
Abdallah, A. (25 May 2022). Dépréciation réelle de la monnaie et croissance économique.
Munich Personal RePEc Archive, 1-25.
Nwikina C.G, and Ekere E.U, (2024) Impact of Exchange Rate on Economic Growth:
Evidence from Nigeria, Global Journal of Arts, Humanities and Social Sciences, Vol.12,
No.3, pp.36-50
Tayyab K., Ayesha K., Wei L., Tauqeer K., Sundas A., Jie W., and Junaid A.Z, (May 2022)
IMPACT OF CURRENCY DEVALUATION ON ECONOMIC GROWTH: EVIDENCE
FROM PAKISTAN, Journal of Marketing Strategies (JMS) Volume 4, Issue 2, pp 327-352.
Fabrice, F. M., & Alexandre, F. D. (2020). FACTEURS A LA BASE DE L’INSTABILITE
EXTERNE DE LA MONNAIE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO DE
2000 A 2018. 264-281.
Richard, K. L. (Aout 2023). Impact des taux de change sur les prix des biens de
consommation en République Démocratique du Congo. Cas de la ville de Bandundu.
Ziglôbitha, Revue des Arts, Linguistique, Littérature & Civilisations, 498-506.
EL YAMANI K. (2020). Economic Growth theories : A literature Review. Revue
international des sciences de gestion, vol 3 : n°4, pp 279-289.
KAMARA, M., SALUMU, P. K., UZELE, c. J., KABUITA, L. M., & LILALA, B. M. (JUIN
14,2021). Incidence de la dépréciation du franc congolais sur la sécurité alimentaire des
ménages. Revue marocaine des Sciences Agronomiques et Vétérinaires.
ENAMBUMBI, G., KIMWANGA, S. P., KABUITA, L. M., & LUKUSA, A. K. (DEC
15,2022). Incidence de la dépréciation du franc congolais sur les prix de produits carnés
vendus sur le marché de Kisangani. Revue marocaine des Sciences Agronomiques et
Vétérinaires
Dieudonné, G., Benoit, B., Paul, K., & Moise, A. (Janvier 2022). Incidence de la dépréciation
du Franc Congolais sur les conditions socio-économiques des habitants de Bukavu. Cahiers
du CURDES n°19, 77-116.
Kaboul E., Mounir J., Ahlam Q., Fatima C., and Mohammed S. (Mars 2019). Effet du taux de
change sur la croissance économique du Maroc. Revue du contrôle, de la comptabilité et de
l’audit. Numéro 8, Volume 3 : numéro 4, pp 823-839.
Mohammed T., Yacine L. and Ahmed B. (MARCH 2019). The impact of exchange rate on
economic growth in Algeria. International conference on innovations in science and
education, pp 323-330.
Jonas Kibala Kuma. (2018). Modélisation ARDL, Test de cointégration aux bornes et
Approche de TodaYamamoto : éléments de théorie et pratiques sur logiciels. Licence. Congo-
Kinshasa.
Dresdner Kleinwort B. (2000). La lettre de conjoncture de la BNP. Recherche Dresdner RCM.
Alex MITEWU KABAMBA.(2 february 2018). La dépréciation du franc congolais par
rapport au dollar américain et son incidence sur l’épargne des ménages de la Ville de
Mbujimayi. Université Officielle de Mbujimayi. Munich Personal RePEc Archive
Directeur & Encadreur
Directeur: KAVIRA Denise MASINGO
Status
Décision ou observation:
Feu vert:
Déposé : NO
Défendu: NO
Finalisé:
EFFET DE LA DEPRECIATION MONETAIRE SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO DE 1990 A 2022
Résumé
Auteur : Kabemba Saliboko
Niveau: G3
Département: Economie
Année Ac: 2023-2024 , | 2024-09-05 01:35:10
Mots clés
Dépréciation monétaire, croissance économiqueLa dépréciation monétaire étant un phénomène d’actualité en RDC, plusieurs auteurs, plus Intérêt
précisément congolais (Gaston E. et al., 2022), (Merveille K. et al., 2021), (Dieudonné G. et
al., 2022), ( Alex K., 2018), ont parlé de son incidence négative sur les ménages. Partant de
cette vision, nous avons voulu savoir si ceci avait un impact positif (Mohammed et
al.2019) sur la croissance du pays suite aux résultats qui sont obtenus. Ce travail cherche à
aboutir à une conclusion qui peut être un avancement pour l’économie de la RDC, d’où la
dénomination effet de la dépréciation monétaire sur la croissance économique.
Ce travail peut servir de référence pour les générations à venir dont la thématique sur la
dépréciation pourrait intéresser.
Problématique
Une évolution du temps suppose une maitrise sur certains facteurs de développement, maiscela n’est pas le cas en République Démocratique du Congo (RDC). Au fil des années, la
RDC a connu et connait jusqu’à présent une instabilité de sa monnaie locale ; par conséquent
sa monnaie est assujettie à une dépréciation.
Fabrice et Alexandre (2020) mettent une évidence, la dégradation continue du Franc congolais
depuis plusieurs décennies. En effet, si en 1998, 1,3 FC suffisaient pour acquérir 1 USD,
aujourd’hui, il faut débourser plus de 2650 FC. Cette évolution, marquée par des périodes
d’accélération comme entre 2001 et 2009 où le taux de change a augmenté de 800% témoigne
d’une instabilité monétaire chronique (Fabrice et Alexandre, 2020).
La dépréciation, selon IG Group (Société de services financiers), représente la baisse de la
valeur d’une devise par rapport à une autre, surtout pour les devises ayant un taux de change
flottant et la valeur d’une devise est définie par le marché de forex (IG Group, 2023).
FasterCapital, société de capital-risque basée au Bangladesh, souligne que la dépréciation
d’une monnaie est une épée à double tranchant. Si elle peut stimuler les exportations et la
production locale, elle entraine aussi une hausse des couts d’importation et peut alimenter
l’inflation, surtout si le pays est dépendant de produits essentiels (FasterCapital, 2023).
Le Dr Nwikina et Ekere ont menée l’étude pour savoir si le taux de change stimule le
développement économique du Nigeria avec des données annuelles de 1985 à 2021 à la
technique du décalage distribué autorégressif (ARDL). Selon les résultats de la régression, la
croissance économique a été influencée positivement et significativement par les réserves de
change, et négativement et significativement par les taux d’intérêt. Il a été démontré que la
croissance économique est affectée positivement et de manière insignifiante par l’ouverture
commerciale. Selon les conclusions de l’étude, un élément clé du développement économique
du Nigeria n’est pas le taux de change. (Nwikina et Ekere, 2024)
Au Pakistan , la même étude a été menée par Tayyab K. et al., l’étude a principalement
examiné des données actualisées sur la manière dont la dévaluation de la monnaie peut
affecter la croissance économique du Pakistan avec des données secondaires de l’indicateur du développement dans le monde (WDI) des années 1990 à 2018 , prenant en compte les
indicateurs économiques de base tels que le produit intérieur brut ,l’inflation , le taux de
change ,le taux d’intérêt et le capital brut formation utilisant l’ARDL, l’ECM, la cointégration
de Johansen et le modèle VECM. Le constat a été qu’il n’existait pas de relation positive et
significative entre la dévaluation monétaire et la croissance économique dans le cas du
Pakistan (Tayyab et al., 2022).
Les études ci-dessus révèlent l’inexistence d’une relation positive et significative entre
dépréciation monétaire et croissance économique et concluent par la réponse selon laquelle la
dépréciation monétaire ne serait pas la clé du développement économique.
Notre étude vise à déterminer si la dépréciation monétaire stimule la croissance économique
en RDC. Nous nous demandons si cette politique constitue un levier de développement. Selon
Richard KABEYA, le succès d’une dépréciation dépend moins du taux choisi que des
mesures d’accompagnement mises en œuvre. En effet, une dépréciation favorise les
exportations, réduit les importations et attire les capitaux. Cependant, la réussite de cette
stratégie repose sur la capacité des entreprises locales à saisir les opportunités ainsi créées et
sur la sensibilité de la demande étrangère aux variations de prix (Richard, Aout 2023).
C’est dans ce cadre que nous passerons au crible pour savoir si la RDC profite des
opportunités que la dépréciation monétaire apporte en dehors de maux qu’elle cause.
Sur ce, notre étude est basée sur la question principale suivante :
Quelle est l’influence de la dépréciation monétaire sur la croissance économique de la
RDC de 1990 à 2022 ?
Cette question est soutenue par deux questions spécifiques qui sont :
La dépréciation monétaire a-t-elle affectée la balance commerciale de la RDC entre
1990 et 2022 ?
Comment la dépréciation monétaire a-t-elle influencé la croissance du PIB ?
Plan provisoire
Dans le présent travail, le milieu d’étude est la RDC (République démocratique du Congo) etdonc toutes les données recueillies sont celles de la RDC.
Et dans le temps, cette étude couvre la période allant de 1990 à 2022; soit une période d’étude
de 33 ans d’observations.
Hypothèses
Michel DUPUY soutient que la dévaluation/dépréciation agit comme un levier pour lesexportations. En effet, en diminuant le prix des produits nationaux sur les marchés
internationaux, elle les rend plus compétitifs et favorise ainsi une augmentation des volumes
exportés (Michel, 2019); la dévaluation de la monnaie chilienne a permis de dynamiser les
exportations de produits non traditionnels, contribuant ainsi à diversifier son économie et à
stimuler sa croissance. Ce phénomène s’est également produit en Italie et en Chine, où la
sous-évaluation de la monnaie a favorisé les exportations des secteurs à forte productivité
(Abdallah, 2022).
i. Nous postulons en disant que dans cette étude la dépréciation monétaire affecte la
balance commerciale de la RDC, et la balance commerciale a un effet positif sur la
croissance du PIB, car la dépréciation permet d’augmenter la production locale
permettant l’exportation et limitant les importations car elles sont assujetties à une
inflation, pour un pays en voie de développement rationnel.
ii. Nous postulons en argumentant que durant cette période la dépréciation monétaire
aura un impact significativement positif sur la croissance du PIB.
Méthodes
Cette partie suppose être un canal pour nous aider à aboutir aux résultats finals pour confirmerou rejeter les hypothèses émises ci-dessus.
C’est dans cette optique que pour la collecte des données des différentes variables, la
technique documentaire nous a été d’une grande aide pour récupérer des données avec Excel
dans les différents rapports de la banque centrale du Congo et de la banque mondiale. Et pour
traiter les données recueillies le logiciel E-views 9 nous a été d’un grand appui accompagné
de la méthode économétrique de ARDL nous informe sur des oscillations à court terme qui
sont gouvernées par la relation d’équilibre à long terme, cela permet de faire des prévisions.
Nous avons de même recouru au test de causalité, pour voir les implications de variables
entre elles.
Bibliographie
Mbuyi A. K., L. Deborah Matadi. Fluctuations du taux de change et croissance économiqueen République Démocratique du Congo. 2021. hal-03346489
Abdallah, A. (25 May 2022). Dépréciation réelle de la monnaie et croissance économique.
Munich Personal RePEc Archive, 1-25.
Nwikina C.G, and Ekere E.U, (2024) Impact of Exchange Rate on Economic Growth:
Evidence from Nigeria, Global Journal of Arts, Humanities and Social Sciences, Vol.12,
No.3, pp.36-50
Tayyab K., Ayesha K., Wei L., Tauqeer K., Sundas A., Jie W., and Junaid A.Z, (May 2022)
IMPACT OF CURRENCY DEVALUATION ON ECONOMIC GROWTH: EVIDENCE
FROM PAKISTAN, Journal of Marketing Strategies (JMS) Volume 4, Issue 2, pp 327-352.
Fabrice, F. M., & Alexandre, F. D. (2020). FACTEURS A LA BASE DE L’INSTABILITE
EXTERNE DE LA MONNAIE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO DE
2000 A 2018. 264-281.
Richard, K. L. (Aout 2023). Impact des taux de change sur les prix des biens de
consommation en République Démocratique du Congo. Cas de la ville de Bandundu.
Ziglôbitha, Revue des Arts, Linguistique, Littérature & Civilisations, 498-506.
EL YAMANI K. (2020). Economic Growth theories : A literature Review. Revue
international des sciences de gestion, vol 3 : n°4, pp 279-289.
KAMARA, M., SALUMU, P. K., UZELE, c. J., KABUITA, L. M., & LILALA, B. M. (JUIN
14,2021). Incidence de la dépréciation du franc congolais sur la sécurité alimentaire des
ménages. Revue marocaine des Sciences Agronomiques et Vétérinaires.
ENAMBUMBI, G., KIMWANGA, S. P., KABUITA, L. M., & LUKUSA, A. K. (DEC
15,2022). Incidence de la dépréciation du franc congolais sur les prix de produits carnés
vendus sur le marché de Kisangani. Revue marocaine des Sciences Agronomiques et
Vétérinaires
Dieudonné, G., Benoit, B., Paul, K., & Moise, A. (Janvier 2022). Incidence de la dépréciation
du Franc Congolais sur les conditions socio-économiques des habitants de Bukavu. Cahiers
du CURDES n°19, 77-116.
Kaboul E., Mounir J., Ahlam Q., Fatima C., and Mohammed S. (Mars 2019). Effet du taux de
change sur la croissance économique du Maroc. Revue du contrôle, de la comptabilité et de
l’audit. Numéro 8, Volume 3 : numéro 4, pp 823-839.
Mohammed T., Yacine L. and Ahmed B. (MARCH 2019). The impact of exchange rate on
economic growth in Algeria. International conference on innovations in science and
education, pp 323-330.
Jonas Kibala Kuma. (2018). Modélisation ARDL, Test de cointégration aux bornes et
Approche de TodaYamamoto : éléments de théorie et pratiques sur logiciels. Licence. Congo-
Kinshasa.
Dresdner Kleinwort B. (2000). La lettre de conjoncture de la BNP. Recherche Dresdner RCM.
Alex MITEWU KABAMBA.(2 february 2018). La dépréciation du franc congolais par
rapport au dollar américain et son incidence sur l’épargne des ménages de la Ville de
Mbujimayi. Université Officielle de Mbujimayi. Munich Personal RePEc Archive
Directeur & Encadreur
Directeur: KAVIRA Denise MASINGOStatus
Décision ou observation:Feu vert:
Déposé : NO
Défendu: NO
Finalisé: